Du neuf... que dis-je... du new (-sletter)

Aaaaaaaahhhh! je suis tombée bien pas, en me laissant aller à ce stupide jeu de mots... 

Bon, peu importe, toujours est-il que les nombreux lecteurs assidus de ce blog (qui doivent bien se compter sur les doigts d'une main estropiée) peuvent désormais s'inscrire à la newsletter! 
Ça se passe sur votre droite, un peu plus bas.


On n'arrête pas le progrès, hein!?!

Euh... merci de me laisser un commentaire pour me dire si le contenu des messages reçus en cas de nouvel article vous convient, je peux éventuellement changer le paramétrage!

C'est le printemps!!!

Une fois n'est pas coutume, une note très courte avec quelques photos prises dans la cour de l'immeuble où je vis.

Pas de doute... le printemps est ma saison favorite!

Michael Jackson de Pierric Bailly

Michael Jackson / Pierric Bailly, P.O.L, 2011



Michael Jackson est le deuxième roman de Pierric Bailly, jeune auteur jurassien.
Le premier, Polichinelle paru en 2008, m'avait déjà beaucoup tentée. Les critiques que j'en avais lues étaient élogieuses, à l'image de celles pour ce deuxième roman.

Je n'avais pas lu Polichinelle, mais j'ai fait le forcing pour qu'on achète celui-ci à la bibliothèque, et je me suis empressée de le lire.

Ce n'est pas habituel, mais je dois dire que j'en sors sans pouvoir dire si j'ai aimé ou non, ce que j'ai aimé ou pas... Et pourtant, j'ai quand même envie d'en parler, et j'ai quand même envie de le conseiller.


Avant toute chose, je vous laisse découvrir la quatrième de couverture que je trouve très réussie (ce qui est loin d'être toujours le cas!!!) :

"Il n'est pas tellement question de Michael Jackson dans ce livre, mais plutôt de l'histoire de Maud et Luc. En fait, il y a même trois Maud, et Luc est amoureux de toutes les trois. D'ailleurs, il y a aussi trois Luc. Michael Jackson est un roman d'amour en trois dimensions."

Luc, qui est le narrateur tout au long de cette histoire de ces 3 histoires, est étudiant à Montpellier, il est jurassien d'origine, comme l'auteur qui a d'ailleurs lui-même étudié à Montpellier.
Il est entouré de Maud, bien sûr, et d'un groupe d'amis étudiants, qu'on retrouve dans chacune de ces 3 histoires.
La grande originalité du roman réside dans cette construction : 3 histoires où l'on retrouve des mêmes personnages, en tout cas des personnages qui portent les mêmes prénoms, des situations qui se ressemblent, des lieux similaires...

Le propos général reste le même. Il s'agit d'une histoire d'amour, mais pas seulement... 
C'est un roman qui traite d'une période charnière de la vie, entre l'adolescence et la vie adulte. Où l'on acquiert une certaine autonomie, où l'on vit des expériences nouvelles, mais où les doutes fréquents à l'adolescence sont encore assez présents.
Il y est question d'amour, mais aussi beaucoup de sexe, d'alcool, de fêtes, d'amitiés.


Je ne suis pas une critique littéraire,  et je suis très très nulle pour décrire l'écriture, le style, la narration... Je suis incapable d'utiliser des mots tels que "enrobée, fluide, léchée...". 
Bref... je vais juste tenter de décrire mon ressenti... je trouve que l'écriture colle parfaitement à ce qui est décrit, au propos, à l'âge du narrateur... Comment dire ??? C'est écrit au même rythme que ce que vit Luc, que ce qu'il dit ou pense...
Ah ah ah... je suis claire, n'est-ce pas??? (ok..... j'arrête!)


Donc, comme je le disais, je reste mitigée à l'issue de cette lecture, j'avoue que j'ai été quelque peu ... déroutée.
C'est un roman que j'ai lu moyennement vite, que je n'ai pas laissé traîné des semaines sur ma table de nuit, mais sur lequel je ne me jetais pas...Je l'ai lu par petits bouts, mais n'ai jamais eu envie de l'arrêter...
Pire, j'aurai presque envie de revenir en arrière, de le relire pour mieux saisir les subtilités de chacune de ces 3 parties.
Toujours est-il que j'ai très envie de lire Polichinelle, et que je guetterai la parution du prochain roman de Pierric Bailly.


Un auteur qui, lors de la lecture des critiques concernant ses romans, m'a d'emblée inspiré de la sympathie, ce qui s'est confirmé lorsque j'ai visionné cette vidéo, où il parle de son roman (et où il répond notamment à la question que tout le monde peut se poser : pourquoi Michael Jackson?).

Bonne lecture!

Du progrès au féminin...

Il nous arrive régulièrement avec ma grand-mère, de 93 ans et des brouettes, de parler de nos vies de mères, de femmes... enfin... de femmes-qui-gèrent-leurs-maisons (bah, oui, même si, de nos jours, les hommes s'impliquent de plus en plus, les stat' penchent toujours en notre "faveur" de ce côté-là!!!).

Alors qu'elle évoquait le fait qu'il y a de nombreuses années, elle allait laver son linge à la rivière, juste au-dessous de chez elle, été comme hiver, elle m'a parlé de l'invention qu'elle avait le plus appréciée.

Moi, bêtement, j'ai pensé qu'elle allait me dire que c'était la machine à laver le linge... 
Et bien, pas du tout!!!

Ce sont les gants ménagers! Qui lui ont notamment évité de se geler les mains dans la rivière en plein hiver.

Et pour les femmes d'aujourd'hui... quel est donc l'objet, l'invention qui leur révolutionne la vie, dont elle ne pourrait plus se passer???

Pour ma part, il ne s'agit pas d'inventions que j'ai eu le loisir de découvrir dès leur apparition, mais je dis souvent que le lave-vaisselle et le lit en 160*200 jouent vraiment en faveur de la paix des ménages!!! (en tout cas, de mon couple!) 
Bon, et bien sûr aussi, la pilule, la péridurale...

Langage fleuri

Une fois n'est pas coutume, c'est une note en forme de coup de gueule que je vais poster aujourd'hui.


Coup de gueule contre la maîtresse de ma fille aînée (CE1) qui "dit des gros mots". A l'image des "ferme ta gueule" ou "fermez vos gueules" qu'elle lance (trop!) régulièrement à ses élèves.


Ma louloutte nous a demandé il y a quelques temps de la rencontrer, parce qu'elle en avait marre, et qu'elle souhaitait que "ça se passe mieux"... Nous en étions au stade de la discussion/réflexion lorsqu'un jour notre fille est revenue de l'école en nous disant que sa maîtresse lui avait dit qu'elle était "mal élevée"!!! (elle avait demandé un crayon à sa copine...).

Ce qui est dingue, c'est qu'une maman m'a racontée que les enfants en parlaient à la garderie, le soir, et qu'ils étaient quasi plus choqués par ce que leur maîtresse avait dit à ma louloutte (qui, avec autant d'objectivité qu'une maman peut montrer, est certes bavarde, lente, distraite... mais PAS "mal élevée") que par le "fermez vos gueules" qui avait suivi... Ça ne les surprend même plus...

Bon, en même temps, on n'a pas trop à se plaindre, hein, d'autres enfants se prennent des coups de livre sur la tête... (

Rendez-vous est donc pris, mon mari et 2 mamans de la classe, dont les enfants se sont également plaints, rencontreront l'enseignante.
Après concertation, la rencontre "en force" nous a paru nécessaire, d'autres parents l'ont vu individuellement, elle a nié, et a suggéré que s'ils n'étaient pas satisfaits, ils n'avaient qu'à retirer leur enfant de l'école (j'ai bien entendu fait un petit raccourci, mais ça reste véridique)!
Bel esprit!

En attendant, je vais tenter d'être aussi optimiste que ma fille, et espérer que cette rencontre porte ses fruits!!!


Note du 22 mars : le rendez-vous a eu lieu... la maîtresse, face à 3 parents n'a au moins pas nié les faits... les expliquant par une classe "difficile" (certains élèves au moins). Elle a aussi tenté d'aller sur le terrain de la sphère privée, mon mari l'a apparemment vite arrêtée...
Que dire de plus??? Est-ce que cette rencontre permettra aux "gros mots" de se faire la malle??? On ne le sait pas...
Le sentiment de mon mari est que le principal intérêt de ce rendez-vous aura été de montrer aux enfants qu'on ne cautionne pas du tout ce genre de comportement, qu'on est à leur écoute et qu'on les soutient (sans toutefois discréditer cette enseignante...).

Célibataire d'un soir... ou deux...

Il m'arrive régulièrement de me dire que si j'étais célibataire, j'aurais une hygiène de vie déplorable... et que dans ces conditions, il y a de fortes chances pour que ce célibat soit durable!

Pour preuve, les soirées/nuits où mon cher et tendre "m'abandonne" (pour le travail).

Ces soirs-là, je dévore des tonnes de gâteaux et/ou du chocolat. Je passe des heures sur internet, devant la télé... et pas pour me cultiver comme il se doit, mais bel et bien pour regarder des films à l'eau de rose ou des émissions "haut de gamme" (comme hier, par exemple, un reportage sur les répercussions de l'alcoolisme sur la vie de famille, ou "nouveau look pour une nouvelle vie", haut de gamme, donc!).
Lorsqu'enfin je décroche de l'écran, je bouquine loooonnnngtemps  dans mon lit et éteins bien trop tard (parce que bien sûr, si monsieur est absent, ce n'est pas le cas de nos loulous dont il faudra que je m'occupe quelques heures plus tard!!!!).

Bref, pour résumer, le bilan de ces soirées "célibat" est le suivant : des poches sous les yeux... et sur les hanches!

Mais bon, vu que c'est rare, vu que ce célibat est occasionnel... j'avoue que j'apprécie, je savoure ces petits moments... J'attends avec impatience d'avoir couché les enfants pour pouvoir m'affaler sur le canapé, poser mon cerveau juste à côté, "m'exploser"  les yeux devant la télé ou l'ordi... et au final éteindre la lumière très très tard (allez, j'avoue!) en serrant le doudou gentiment prêté par mes filles, pour remplacer pour une nuit mon "vrai doudou"!


Parce qu'en fait, c'est vrai que le célibat occasionnel c'est plutôt plaisant... et même ma louloutte de presque 5 ans le sait! L'autre jour elle parlait avec son grand-père de l'absence pour quelques jours et donc quelques nuits de sa grand-mère : 
"Mais ça veut dire que tu vas pouvoir ronfler!...... Et même que tu vas pouvoir péter!!!!!!!".

L'Homme inquiet de Henning Mankell... Bye bye Kurt !!!

Voilà... c'est fini... je viens d'achever la lecture de la dernière enquête du commissaire Kurt Wallander. 

C'en est fini de ma lecture, et c'en est fini pour ce personnage.

Le suédois Henning Mankell clôt, avec cette neuvième enquête, la série des "Kurt Wallander".
Série que j'ai découvert sur les conseils d'une sympathique libraire qui m'avait glissé dans les mains :
Les Morts de la Saint-Jean (6ème aventure de l'inspecteur Wallander).

(elle m'avait aussi conseillé la lecture d'un excellent polar d'un auteur sud-africain : Deon Meyer, intitulé Les Soldats de l'aube).


Pour en revenir à mes premiers pas dans l'univers de Henning Mankell, j'ai tout de suite aimé le style, l'écriture de cet auteur Suédois qui me changeaient des polars nord-américains.
L'ambiance, les personnages, les thématiques abordées, le rythme du récit, tout était vraiment différent de ce que j'avais lu jusque là en matière de polar.


Il faut dire, et c'est assez dingue de constater cela, que c'était le premier polar que je lisais où on suivait l'enquête policière pas à pas... Pas d'enquêteur super-héros, pas de femme du défunt qui mène l'enquête mieux que les services de police... j'en passe et des meilleurs...
Mais une équipe menée par l'inspecteur Kurt Wallander, un anti-héros né, avec ses problèmes conjugaux, son diabète naissant, ses doutes concernant son métier, ses interrogations sur le devenir de la société dans laquelle il évolue... 
Une équipe donc, qui mène l'enquête à un rythme qui parait crédible à comparé de celui d'autres polars.
Je ne sais plus dans la(es)quelle(s) des aventures de Kurt Wallander, mais on a carrément une grosse ellipse, clairement expliquée par l'absence d'éléments nouveaux pour la résolution de l'enquête.

Comme je l'ai évoqué, chaque enquête est prétexte à une réflexion sur la société suédoise, et au-delà sur nos sociétés d'occidentaux, leur évolution, les dérives, les atrocités...(évidemment, on est dans du polar, pas dans du roman à l'eau de rose!)

J'ai donc tellement aimé que j'ai ensuite lu toutes les aventures de Kurt Wallander, pas forcément dans l'ordre chronologique, car l'ordre des traductions a été un peu aléatoire en France.

Il est vrai que chaque roman traite d'une enquête du début jusqu'à la fin, mais il y a parfois des petits rappels et puis, pour ce qui est des personnages, c'est plus intéressant de découvrir leur évolution en lisant dans l'ordre tous ces romans, dont voici la liste chronologique :
- Meurtriers sans visage, Seuil policiers, 2004.
- Les Chiens de Riga, Seuil policiers, 2003.
- La Lionne blanche, Seuil policiers, 2004.
- l'Homme qui souriait, Seuil policiers, 2005.
- Le Guerrier solitaire, Seuil policiers, 1999.
- La Cinquième femme, Seuil policiers, 2000.
- Les Morts de la Saint-Jean, Seuil policiers, 2001
- La Muraille invisible, Seuil policiers, 2002.
- Avant le gel, Seuil policiers, 2005.
- L'Homme inquiet, Seuil policiers, 2010.


Dans Avant le gel, la fille de Kurt Wallander, Linda, fait ses premiers pas dans la police, elle mène l'enquête, pas toujours en accord avec son père.
Linda tient une grande place dans L'Homme inquiet, où Wallander se lance dans l'enquête sur la disparition des beaux-parents de sa fille. Dans cette ultime enquête, sous-marins, Guerre Froide et espionnage sont à l'honneur.


A noter que s'intercale dans cette série un excellent roman ne mettant pas en scène Wallander, mais un enquêteur nommé Stefan Lindman.
Aucun lien apparent, si ce n'est qu'on retrouve ce même personnage dans Avant le gel, où ils nouent des liens étroits avec Linda.
Bien entendu, la parution française ne suit pas la chronologie des événements.
Le Retour du professeur de danse, dont il est question, est paru en 2006 (Seuil policiers).


A noter ensuite que tous ces romans, hormis le dernier bien entendu, sont parus en version poche.


A noter également que les enquêtes de l'inspecteur Wallander ont été adaptées en série télé (ARTE).

A noter enfin que Mankell n'a pas écrit que des polars, mais je vais arrêter là ce long long message et vous laisser fouiller sur Internet pour en savoir plus!

Bonne lecture!

(remarque : je ne me suis pas bien foulée, tous les liens vous dirigeront vers le site Pol'Art Noir, ce qui n'est pas non plus dramatique, les critiques y étant bien fichues!)


 

Balade nasale

Ça aurait pu être le portable, la cigarette, le GPS, le paysage, la musique ou la radio, ou mieux : le(s) passager(s)... 
Mais non, aux vues de mes observations, la meilleure distraction pour bon nombre de conducteurs (désolée pour ce sexisme) principalement chez les messieurs, reste le... le... alors? qui a trouvé??? eh! oui! le CURAGE DE NEZ!!!

J'avoue que je n'aurais jamais fait de note sur ce sujet si je n'avais pas surpris, hier, un monsieur se consacrer à cette "distraction" A COTE DE SA FEMME!!! Jusque là, je n'avais observé que des solitaires...

Chanteclair et la princesse Charlotte (2/2)

Chanteclair et la princesse Charlotte (1/2)

J'ai d'abord voulu taper le texte... mais d'une part c'était trop long et d'autre part, je me suis dit que c'était beaucoup plus sympa de le présenter "dans son jus", avec le papier quadrillé, la "belle" écriture... les fautes d'orthographe... enfin bref, tel que je l'avais écrit!

Je vous laisse découvrir tout ça, enfin, une première partie en fait... la suite et fin arrivera bientôt!


Bonne lecture.

A suivre...

J'aurais voulu être un(e) artiiiiiiiiste...

Z'avez reconnu, bien sûr, l'une des chansons cultes de Starmania (wouhaaaa!!! la référence!!!)...

Bien entendu, cette chanson ne me correspond pas vraiment... mais il y a un petit quelque chose, tout de même...

Je m'explique : elle ne me correspond pas dans la mesure où je n'ai pas de "bureau en haut d'une tour" et que je ne change pas "souvent de secrétaire"... 
Elle ne me correspond pas non plus dans la mesure où je n'ai jamais eu envie de faire "mon numéro".
(est-ce que je fais baisser ma côte de popularité en citant ce méga-tube??? je me demande!?)

Par contre, j'avoue, j'adooooorerais me distinguer d'un point de vue artistique, savoir dessiner, peindre... créer quoi et réaliser des trucs de ouf, comme Alesque et les autres... 

Ou alors être une pro de la couture, ou mieux de la BD : allier le talent artistique à un talent d'écriture, le must du top du top!!!

Oui, parce qu'un autre truc pour lequel j'adorerais avoir du talent, c'est l'écriture!
Mais attention, pas pour moi, ni pour mes proches, mais plutôt genre écrire un roman qui serait lu par des tonnes de gens (ET qu'on proposerait aux lecteurs de la bibliothèque où je bosse!!!)


Bref, pour ce qui est de mes mains, c'est réglé... je suis une bille!


Et pour ce qui est de l'écriture... euh... comment dire, je pense que je vais me contenter d'écrire pour moi et pour les quelques âmes charitables qui me font le plaisir de venir me lire ici (MERCI!!!).

Il faut tout de même dire que lorsque j'étais petite/plus jeune, j'ai commencé plusieurs... euh... romans (pffffff!!!). Je me suis évidemment toujours arrêtée avant la fin du premier chapitre mais je les garde précieusement en souvenir (ça pourra toujours servir si un jour je deviens célèbre... hihihi...).

ET il faut aussi que je vous dise que j'ai tout de même achevé 2 textes!!!
Le deuxième, c'est un petit livre qu'on s'est amusé à écrire avec mon mari, juste avant notre mariage, retraçant chacun de notre côté notre "belle histoire".
Et le premier, je ne sais pas quel âge j'avais, mais aux vues de l'écriture, peut-être 12 ans... un petit conte intitulé Chanteclair et la princesse Charlotte.


Je sais que tous autant que vous êtes vous trépignez, vous hurlez d'impatience, vous vous roulez par terre tellement vous aimeriez lire cette œuvre majeure!!!
Madame S est bonne, Madame S est généreuse, elle vous fera l'honneur de vous faire lire ce merveilleux conte très vite, bientôt, incessamment sous peu... euh... en fait, dès qu'elle aura réussi à trouver comment le faire!


Allez, soyez patients, à très vite !!!

Testé pour vous!!! euh... éprouvé pour vous!

Un petit post pour évoquer la notion suivante "il faut souffrir pour être belle".

Hein! Ça vous dit quelque chose mesdames, mesdemoiselles... euh... et messieurs!?

Donc, j'ai commencé il y a peu l'épilation définitive (d'un endroit que je ne dévoilerais pas ici, premièrement parce que quelle que soit la zone, je pense que le propos de ce message ne change pas, et deuxièmement, s'il y en a qui me connaisse, ça les fera spéculer!).

J'ai opté pour l'épilation utilisant la lumière pulsée... tout bêtement parce que l'institut de beauté où je vais la pratique... 

Il est bien trop tôt pour aborder la question du résultat, mais je peux d'ores et déjà dire ceci :
wouahaaaaaaaaaaaaaaaa, p...n, la vache!!!! ça fait mal!!! 
Bon, par contre, c'est super super bref comme douleur, donc, je sais que je vais tenir le choc et retourner me faire torturer...


A suivre...

Victimes de la mode, mes oreilles!?

Oui, sans doute... enfin, au sens propre du terme, bien entendu!

J'aurais pu commencer ce post par "si seulement j'étais ado, là, maintenant!!!"

Et pourquoi donc me direz-vous???

Tout simplement parce que lorsque j'étais ado, il y a une quinzaine d'années, c'était la mode des tout-petits écouteurs de walkman/baladeurs. Vous savez ceux qu'on coince à l'entrée du conduit auditif.
Et bien, mes oreilles n'ont jamais été faites pour ces écouteurs tout-petits-riquiquis-merdiques, qui trouvaient toujours le moyen de tomber (surtout d'un côté)!!!


Quand je vois la taille des casques qui se promènent dans la rue, à l'heure actuelle... je me dis que, vraiment, la mode, ça fait ch...